«L’Artiste prêtre son regard pour offrir sa vision du monde.» Schopenhauer

Contexte

Diplômé en chimie, j’ai travaillé 8 années dans le domaine de la chimie du nucléaire. Ce diplôme et cette
première tranche professionnelle sont à l’origine de mon tempérament scientifique.
L’ennui et le désintérêt progressif pour ce milieu m’ont poussé à démissionner pour construire mon
entreprise en informatique, vente de matériel et de jeux vidéo. En quelques années, compte tenu d’un secteur hautement concurrentiel et à faible marge, j’ai orienté mon activité vers la PAO et l’infographie.
Avec l’émergence d’Internet j’ai intégré le web design, la programmation informatique.
Pour mon propre plaisir, j’ai commencé à utiliser les logiciels d’infographie tel que Photoshop (retouche d’image) et 3D Max ou Maya (3D) pour laisser libre cours à mes créations graphiques. J’ai ainsi commencé mon travail de création narrative et onirique d’univers ou d’histoire que j’avais en tête.
Cependant la virtualité de mes créations, leurs caractères fragiles – corruption ou perte de fichiers – et leurs caractères aisément reproductibles ne me plaisaient pas.
C’est pour ces raisons que je me suis tourné vers la peinture. Cette étape de la peinture me permet de finaliser mes créations numériques en leur donnant corps et en leur conférant une âme unique.
C’est à cette période que j’ai rencontré un ami, artiste peintre, avec qui j’ai partagé un atelier. C’est devenu le siège social de ma société. Entre 2 commandes de site internet je profitais de l’atelier pour peindre.
De façon inattendue, cet atelier avec pignon sur rue attira progressivement des personnes désireuses d’apprendre à peindre. Nos peintures et notre travail en vitrine sont devenus, malgré nous, notre meilleure promotion.
C’est ainsi que cet atelier personnel devint au fil du temps un lieu de cours de peinture et la première école de ma seconde société : Atelier d’Artistes. Et lorsque celle-ci fut complète j’ai ouvert un seconde école puis une troisième.
Je ne peins pas suffisamment à mon goût mais avec persévérance.
Depuis ces 30 dernières années je continus mon exploration artistique, mes recherches techniques et mes productions artistiques en parallèle de toutes mes autres activités professionnelles.

 

Pourquoi la peinture figurative ?

Je peins à la peinture à l’huile et à la peinture acrylique. J’aime la peinture l’huile pour son coté alchimique, recettes d’atelier, expérimentation de médiums. C’est probablement mes études de chimiste qui refont surface. J’aime sa rondeur, sa souplesse d’utilisation, sa texture pâteuse, crémeuse.
J’aime l’acrylique par sa rapidité de mise en œuvre, sa texture fluide qui permet un travail tranché, net, chirurgical.
Quand j’ai commencé à peindre je l’ai intuitivement abordé de façon réaliste…
Je crois dans les valeurs fondamentales de la technique, de la maîtrise technique et à l’impact du figuratif. Je peins pour toucher le spectateur, créer un lien, l’emmener dans mon univers pour lui raconter une histoire, une rêverie, pour lui retransmettre un message, une idée, une émotion.
Mes écoles se sont développées parce que ce savoir technique et esthétique était fortement demandé autant en dessin, qu’en peinture et en sculpture.
Mes références en peinture Léonard de Vinci, Caravage, Rembrandt, la peinture flamande : pour la maîtrise et la perfection technique. Dali, Siudmak, Ernst : pour leurs univers fantastiques, surréalistes. Ces influences sont essentiellement perceptibles dans mes peintures narratives.
Odd Nerdrum, Lucian Freud : pour la puissance de l’impact d’un travail «brut», moins académique. Sorolla, Sargent : pour cette efficacité de la touche qui peint l’idée de la chose plutôt que la chose.
Et Hopper pour son univers mélancolique et parfois désolé. On retrouvera ces influences dans ma peinture sociétale.
Chez les artistes actuels, et peut être avec des influences non perçues, j’aime entre autre Alexy Alpatov, Vasily Shulzhenko, Dashi Namdakov, du coté russe – Li Wentao, Yan Yaya, Chen Wenling du coté chinois – le portraitiste irlandais Colin Davidson – le britanique Bansky – et les français Jean Arcelin, le photographe Guy Jean Genevier. Je suis faciné par l’architecture miniature des japonnais Takanori Aiba
ou Ocoze .

 

«L’Artiste prêtre son regard pour offrir sa vision du monde.» Schopenhauer

Contexte

Diplômé en chimie, j’ai travaillé 8 années dans le domaine de la chimie du nucléaire. Ce diplôme et cette
première tranche professionnelle sont à l’origine de mon tempérament scientifique.
L’ennui et le désintérêt progressif pour ce milieu m’ont poussé à démissionner pour construire mon
entreprise en informatique, vente de matériel et de jeux vidéo. En quelques années, compte tenu d’un secteur hautement concurrentiel et à faible marge, j’ai orienté mon activité vers la PAO et l’infographie.
Avec l’émergence d’Internet j’ai intégré le web design, la programmation informatique.
Pour mon propre plaisir, j’ai commencé à utiliser les logiciels d’infographie tel que Photoshop (retouche d’image) et 3D Max ou Maya (3D) pour laisser libre cours à mes créations graphiques. J’ai ainsi commencé mon travail de création narrative et onirique d’univers ou d’histoire que j’avais en tête.
Cependant la virtualité de mes créations, leurs caractères fragiles – corruption ou perte de fichiers – et leurs caractères aisément reproductibles ne me plaisaient pas.
C’est pour ces raisons que je me suis tourné vers la peinture. Cette étape de la peinture me permet de finaliser mes créations numériques en leur donnant corps et en leur conférant une âme unique.
C’est à cette période que j’ai rencontré un ami, artiste peintre, avec qui j’ai partagé un atelier. C’est devenu le siège social de ma société. Entre 2 commandes de site internet je profitais de l’atelier pour peindre.
De façon inattendue, cet atelier avec pignon sur rue attira progressivement des personnes désireuses d’apprendre à peindre. Nos peintures et notre travail en vitrine sont devenus, malgré nous, notre meilleure promotion.
C’est ainsi que cet atelier personnel devint au fil du temps un lieu de cours de peinture et la première école de ma seconde société : Atelier d’Artistes. Et lorsque celle-ci fut complète j’ai ouvert un seconde école puis une troisième.
Je ne peins pas suffisamment à mon goût mais avec persévérance.
Depuis ces 30 dernières années je continus mon exploration artistique, mes recherches techniques et mes productions artistiques en parallèle de toutes mes autres activités professionnelles.

 

Pourquoi la peinture
figurative ?

Je peins à la peinture à l’huile et à la peinture acrylique. J’aime la peinture l’huile pour son coté alchimique, recettes d’atelier, expérimentation de médiums. C’est probablement mes études de chimiste qui refont surface. J’aime sa rondeur, sa souplesse d’utilisation, sa texture pâteuse, crémeuse.
J’aime l’acrylique par sa rapidité de mise en œuvre, sa texture fluide qui permet un travail tranché, net, chirurgical.
Quand j’ai commencé à peindre je l’ai intuitivement abordé de façon réaliste…
Je crois dans les valeurs fondamentales de la technique, de la maîtrise technique et à l’impact du figuratif. Je peins pour toucher le spectateur, créer un lien, l’emmener dans mon univers pour lui raconter une histoire, une rêverie, pour lui retransmettre un message, une idée, une émotion.
Mes écoles se sont développées parce que ce savoir technique et esthétique était fortement demandé autant en dessin, qu’en peinture et en sculpture.
Mes références en peinture Léonard de Vinci, Caravage, Rembrandt, la peinture flamande : pour la maîtrise et la perfection technique. Dali, Siudmak, Ernst : pour leurs univers fantastiques, surréalistes. Ces influences sont essentiellement perceptibles dans mes peintures narratives.
Odd Nerdrum, Lucian Freud : pour la puissance de l’impact d’un travail «brut», moins académique. Sorolla, Sargent : pour cette efficacité de la touche qui peint l’idée de la chose plutôt que la chose.
Et Hopper pour son univers mélancolique et parfois désolé. On retrouvera ces influences dans ma peinture sociétale.
Chez les artistes actuels, et peut être avec des influences non perçues, j’aime entre autre Alexy Alpatov, Vasily Shulzhenko, Dashi Namdakov, du coté russe – Li Wentao, Yan Yaya, Chen Wenling du coté chinois – le portraitiste irlandais Colin Davidson – le britanique Bansky – et les français Jean Arcelin, le photographe Guy Jean Genevier. Je suis faciné par l’architecture miniature des japonnais Takanori Aiba
ou Ocoze .